Hart boven Hard et Tout Autre Chose : 3.000 km sur le route des réfugiés
Chaque matin, lorsque nous prenons notre tasse de café, dans la nuit d’encre précédente, des enfants et des adultes boivent la tasse en Méditerranée, pauvres corps flottant entre deux eaux, dans un cri inaudible tendant la main vers les hommes politiques européens, des millions de réfugiés s’entassent dans des camps de fortune.
La Crise du Projet Européen, pauvreté, no future, rejet, repli identitaire/extrême droite/totalitarisme conduisent à la banalité du mal (Hannah Arendt). Le mal ne semble pas affecter les décisions schizophrènes de l’Europe Contre les Droits de l’Homme…
Des citoyens se mobilisent pour permettre aux réfugiés d’accéder aux droits les plus élémentaires de sécurité, de dignité auxquels tout être humain a droit. Nous demandons plus de justice, nous sommes tous des exilés, aucune civilisation n’a résisté en érigeant des murs.
Le projet sur la route des réfugiés s’inscrit dans cette volonté de créer une conscience commune en partant de l’ile de Lesbos (Grèce) pour rejoindre le parlement (caprice des Dieux… grecs) à Bruxelles en courant 3.000 km avec des slogans révélateurs de l’irresponsabilité du monde politique européen et en apportant à celui-ci un message des réfugiés séjournant en Grèce (qui est le laboratoire de l’Europe de demain) ainsi que des habitants désespérés.
De quoi avons-nous besoin pour ce projet ?
Calendrier ?
Quels sont les objectifs ?
Si vous êtes intéressé d’une manière ou d’une autre par ce projet, contactez Valter Iurlaro (valter.iurlaro@gmail.com). +32 (0)474/661680
Le projet a été présenté durant le festival Esperanzah!
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