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STOP ! Les idées de solidarité, de consensus et de concertation sont remises en question. Le seul horizon qui nous est désormais imposé est celui de l’austérité. Comme si, au nom d’une prétendue rigueur, il n’y avait d’autre solution que de rogner dans les salaires, les pensions, les services publics, la culture, la recherche scientifique, l’aide au développement… Comme si, au nom de la sécurité, il n’y avait d’autre choix que de diminuer nos libertés, de nous monter les uns contre les autres et de nous mettre sous surveillance. Comme si, au nom de la sacro-sainte compétitivité, la seule option était de détricoter notre modèle social et de reporter à plus tard les défis environnementaux et climatiques. Comme s’il n’y avait pas d’alternative.
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Tout Autre Chose est un mouvement qui regroupe des personnes et des associations d’horizons très divers, au sein duquel le débat est valorisé. Nous ne sommes pas d’accord sur tout. Mais toutes et tous, nous partageons dix grands principes qui définissent les valeurs de notre mouvement commun et servent de balises à nos débats, nos luttes et nos innovations.
Toutes et tous, nous voulons une société démocratique, solidaire, coopérative, écologique, juste, égalitaire, émancipatrice, créative, plurielle et réjouissante.
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Nos 12 tout autres horizons ?
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Nous ne voulons pas d’une Europe forteresse construite au nom de notre soi-disant protection. Qui plus est, une Europe qui porte une part de responsabilité non négligeable dans le développement des crises et des situations de grande instabilité qui traversent les États dont sont originaires la plupart de ces victimes. Contrairement aux idées reçues, l’ampleur des migrations contemporaines n’a rien d’exceptionnel : alors que les migrants représentaient 10% de la population mondiale il y a un siècle, ils n’en représentent plus que 3% aujourd’hui.
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Bart De Wever s’est illustré cette semaine par des propos racisant visant à diviser et à stigmatiser certaines franges de la population. Ce n’est pas une première pour lui, malheureusement. Ce sont de tels propos, Monsieur De Wever, qui provoquent le rejet de la classe politique et qui mettent gravement en péril les conditions du vivre-ensemble. Vos propos, Monsieur De Wever, prouvent que le racisme n’est pas une notion relative mais, au contraire, qu’il gangrène notre société.
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Alors qu’à la COP 21, les dirigeants du monde entier se sont positionnés pour mettre un frein au réchauffement climatique, le gouvernement belge fait tout pour rester mauvais élève.
Celui-ci fait fausse route sur sa politique de mobilité et particulièrement dans le dossier SNCB. Un exemple : chaque matin, il y a en moyenne 140km de bouchons sur nos routes. La Belgique est un des pays les plus embouteillés au monde, avec tout le stress pour les travailleurs, les conséquences économiques négatives pour les entreprises et les émissions de CO2 que cela peut engendrer.
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